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Thérapie de la relation par la danse

avec Marie Crespel et Aurore Arnould

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Toutes les infos sur www.theredanse.com

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Notre approche

 

Nous sommes attentives au rythme de nos participants.es et tenons à les rejoindre là où i.elles sont, en douceur et dans la joie. Nous nous adaptons à la réalité de terrain et aux besoins spécifiques de chaque public. 
 

Nos sessions sont cadrées, ritualisées et suivent une gradation d’intensité.  

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La musique occupe une place essentielle, nous la choisissons minutieusement pour qu’elle serve nos objectifs et suive la progression de la session. Les musiques vont être plus instrumentales, douces, en début de session, puis plus rythmées, balancées par des percussions, des sonorités afro, latino, arabes, pour redescendre vers des rythmes plus calmes et enveloppants en fin de session. 

Nos objectifs 

 

° Permettre une autre voie d’accès que les thérapies verbales.

Le corps détient la mémoire de toutes les expériences vécues. Nos sensations corporelles, notre gestuelle, notre langage physique reflètent notre culture, notre histoire personnelle, nos blessures et nos forces.  

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Pour certaines personnes mettre des mots sur leurs émotions et expériences vécues est compliqué, de par leur histoire, ou de par le caractère indicible de l’horreur vécue, dans les cas de traumatismes.

Passer par le corps permet d’exprimer, via un autre langage, ce qui ne peut être dit.

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° Soigner par le corps les traumatismes psychiques qui empêchent d’être en lien tels que : violence intrafamiliale, maltraitance et négligence dans l'enfance, agressions, violence de genre et d'orientation sexuelle (sexisme, discrimination, violence conjugale, mutilations génitales, stigmatisation et agressions des personnes LGBTQIA+), violence sexuelle (viol, abus sexuel, harcèlement), harcèlement scolaire et sur le lieu de travail, guerres, génocides, etc.​

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Les traumatismes que nous avons pu vivre, vont impacter nos relations (présentes et futures), qu’elles soient amoureuses, amicales, parentales, familiales, professionnelles, ainsi que la relation à soi, à l’image de notre corps. Ils laissent des empreintes dans le corps, difficiles à libérer par la parole dans le cadre de psychothérapies verbales.

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La danse libre, rythmée par les percussions de la musique qui invitent à des mouvements archaïques de balancements, tournoiements et mouvements répétitifs, amène à un état de conscience modifiée, qui permet l’émergence de traumas refoulés, tel que l'hypnose, la méditation ou l'EMDR. Ces traumas pourront ensuite être symbolisés sous forme de mouvements et sublimés par la danse. Ce qui remonte à la surface pourra ensuite être mis en mots lors du cercle de parole.
 

° Rompre l’isolement : proposer et cultiver le lien entre les participant.es, la bienveillance, le respect, la solidarité, le partage et la complicité, grâce à la dynamique de groupe.
 

° Favoriser une culture du consentement par une meilleure écoute et respect de ses propres limites et de celles de l’autre, par l’expérimentation du refus et de l’acceptation d’une interaction, d’un contact, la délimitation et la protection de son territoire, et l’accueil du refus ou de l’acceptation de l’autre, dans un cadre bienveillant et sécurisant

Notre visée est thérapeutique pour la personne et préventive pour la société, permettant de favoriser des relations pacifiées entre hommes, femmes et personnes non binaires.
 

° Dépasser par l’universalité de la danse les frontières d’origine socio-culturelle.

« Les danses à rythme pulsé cadencé qui rappellent la pulsation cardiaque et le pouls sanguin sont au service de la vie, donc de la paix. Elles rendent vivant, confiant ouvert aux autres parce que leurs structures rythmiques portent en elles le pouvoir de relier. Si le partage des danses fait tomber les barrières non seulement à l’intérieur de soi, mais entre les individus et même entre les groupes, la danse thérapie pourrait offrir un pont humain artistique entre soi et l’autre, un lien intercommunautaire qui s’oppose au repli communautaire. » France Schott Billmann.

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Nous utilisons des musiques riches en percussions qui nous ramènent aux pulsations cardiaques universelles et des musiques provenant des quatre coins du monde

La musique et la danse viennent jeter des ponts entre des personnes issues de cultures différentes en les réunissant dans ce qui leur est commun, ce qui fait de nous des êtres humains, avec et au-delà de nos différences.

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​° Offrir un espace safe et inculisif pour tous et toutes

Pour les femmes, danser en soirée ou en boite sans recevoir des regards et des gestes déplacés ou des propositions indécentes est un défi. certaines en arrivent, par sentiment d'insécurité à censurer leur façon de danser voir à cesser de danser. Nous tenons à permettre aux femmes de retrouver de la sécurité et du plaisir à danser.

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Danser, s'exprimer, s'aimer et déjà même parler et marcher dans l'espace public peut mettre en danger les personnes issues de la communauté LGBTQIA+, générant un constant sentiment d'insécurité et une nécessité de cacher des parts de soi et ses relations pour se sentir en sécurité. Nous avons à cœur d'offrir un espace safe et inclusif où chacun.e puisse être pleinement elle-même et lui-même. 
 

° Pouvoir se soigner sans se faire mal, dans la joie, la douceur, le jeu. La musique, la danse, l'humour, ajoutent de la légèreté dans des thématiques lourdes.

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° Retrouver son corps, passer d’un corps en souffrance à un corps léger, l’associer à une expérience positive, renouer avec ses parts féminines et masculines, avec sa sensorialité.
 

° Sentir les zones de tension, la détente, le plaisir dans un cadre rassurant, pour associer une expérience positive à ce qui faisait défaut ou souffrance. 

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La danse est résolument un art du vivant, qui va faire entrer de la vie, de la beauté, permettant de rendre beau, de sublimer ce qui a pu être laid, abimé, déchiré.

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« Il me semble que la confusion du monde, son chaos, son désordre, ce n’est pas un grand problème, c’est sept milliards de petits problèmes. Chacun de nous a ce choix et ce pouvoir dans la vie quotidienne, tous les jours : contribuer ou non à la clarté, à la transparence, à la paix. » T d’Ansembourg

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